Le magazine Conscious Company a consacré un article au succès, et au piège qu’il tend aux leaders. Nous sommes tous “formatés”, dès notre enfance, à tendre vers le succès, dont l’aboutissement est présenté comme l’obtention des meilleures notes, et validé par le passage d’une classe à la classe du niveau supérieur. Ce modèle se poursuit jusqu’à la fin de nos études, avec différents étalons de mesure du succès : type d’études, classements, diplômes…
Puis nous entrons dans le monde du travail, et le succès se mesure à l’aune du poste, des résultats, de la notoriété, du salaire, de l’évolution dans la hiérarchie. Pour les leaders, la pression est particulièrement forte, venant tant de l’entreprise que de l’extérieur. On se dit qu’un jour le succès sera là, on sera arrivé au but ultime, enfin. Ce sera le temps du repos du guerrier. Mais le succès est comme un mirage qui s’éloigne dès qu’on s’en approche.
Combien de leaders se trouvent confrontés à ce paradoxe de toucher au succès – selon de nombreux critères tangibles – et pourtant de ressentir un vide, une insatisfaction profonde, le sentiment diffus que le noble but n’est pas là où ils pensaient le trouver ?
Sur la voie d’un leadership plus conscient, il apparaît que l’âme n’a pas soif de notoriété, de richesse ou de pouvoir. Elle a faim de sens. C’est un changement de perspective radical, et salvateur – celui auquel nous invitons les leaders qui participent aux “business retreats” Monasterra.
Découvrez l’article paru dans Conscious Company Magazine ici.