Découvrez ce magnifique discours de Jacques Gamblin, qui à l’occasion de la COP 21 a crié haut et fort son engagement pour sauver la planète (au Parlement sensible des Ecrivains, le 14 novembre 2015).
Sans complaisance, il appelle chacun à assumer sa part de responsabilité dans le malaise de notre terre. Il parle du grand banquet des éléments, qui ne savent plus où donner de la tête, tant l’irresponsabilité de l’homme leur a mis la tête à l’envers. Un discours virulent, adouci par la poésie des mots. Des propos lucides et qui remuent.
Un extrait :
“Nous sentir responsables de nous-mêmes et de ceux qui vont suivre est une chance. C’est ce qui nous rend vivants. Faisons le boulot nous-mêmes, individuellement : 1+1+1+1… Il est juste l’heure de mettre les mains dedans, de faires des toutes petites choses, multipliées par des milliards de toutes petites, qui montrent le chemin de nos désirs aux politiques peureux…”
Et si, après cela, chacun n’a pas envie, d’un battement d’ailes, de se sentir colibri !…
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